Empruntant la forme du combat, et mettant en pratique la formule «Maximum d’efficacité, minimum d’énergie », le junomichi ouvre une voie douce.
Pour mener cette recherche dont les principaux matériaux sont le corps et les sensations, le junomichi adopte cinq principes (mobilité, non-opposition, esquive, contrôle, décision), énoncés par Igor Correa, et les met en œuvre à travers différents exercices (uchi komi, kata, randori et shiai), hérités du judo de Jigorô Kanô.
Le junomichi a été fondé en 1981 en France par Igor Correa. Il trouve aujourd’hui sa continuité à travers la Fédération internationale autonome de junomichi (FIAJ).